Le règlement intérieur de 1962
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Accident
1970
Accident avec un camion forestier
Photos retrouvées dans les archives de la société, mais malheureusement aucune date ne figure au verso de ces dernières. Nous situons cet incident spectaculaire au début des année 1970. De gros dégâts matériels qui ont été réparés par l’équipe de mécaniciens très rapidement.
A l’exception de l’émotion du choc, il n’y a eu aucun dommage corporel, compte tenu de la faible vitesse de déplacement du train.
Nous avons tenu à ce que cet incident figure dans les événements de la vie du p’tit Train !
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Déraillement - 23 juillet 1987
A la sortie de la Passe de la Vigne Américaine, en direction de Maumusson, un déraillement se produit en début d’après-midi. Seule le locotracteur quitte la voie et évite de peu le gros arbre. Plus de peur que de mal, l’équipe de l’atelier s’emploie à remettre la machine sur ses rails en moins de 30 minutes. Le trafic reprend.
Photos : Alain BLONDIN
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Déraillement - Juillet 1987
En plein mois de juillet, au retour de Maumusson, le train arrivant à vitesse excessive (sur une voie légère de mauvaise qualité), au niveau de la courbe de la digue de Gatseau (PK 4,7), déraille.
Seule la machine sort de la voie. La conjonction d’une vitesse excessive, d’une voie probablement saturée par le sable et d’un affaissement de la voie vers l’extérieur de la courbe donne le résultat visible sur la photo.
Le pauvre conducteur, Pascal Conan ne peut que constater les dégâts, tandis que l’équipe d’atelier, Patrick Lavacherie et James Videau, s’emploie à relever le train.
Heureusement plus de peur que de mal !
Photos : Alain BLONDIN
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Déraillement - Juillet 1987
En plein mois de juillet, au retour de Maumusson, le train arrivant à vitesse excessive (sur une voie légère de mauvaise qualité), au niveau de la courbe de la digue de Gatseau (PK 4,7), déraille.
Seule la machine sort de la voie. La conjonction d’une vitesse excessive, d’une voie probablement saturée par le sable et d’un affaissement de la voie vers l’extérieur de la courbe donne le résultat visible sur la photo.
Le pauvre conducteur, Pascal Conan ne peut que constater les dégâts, tandis que l’équipe d’atelier, Patrick Lavacherie et James Videau, s’emploie à relever le train.
Heureusement plus de peur que de mal !
Photos : Alain BLONDIN
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Les 25 ans du P'tit Train
25ème Anniversaire 18 et 19 juin 1988
25 années d'aventure, de stress, d'angoisse et de satisfaction !
Ce quart de siècle marque cette réalisation d'un sceau particulier : celui d'une réussite hors normes, tout à la gloire des promoteurs, le Docteur Pol GALA et son épouse, qui a été son « éminence grise » !
Mais la réussite a été à la hauteur des efforts déployés pour promouvoir, certes le p'tit Train de St-Trojan, mais également la commune.
La mairie a été associée à cette manifestation, mais également la poste, le groupe folklorique
les Dejouqués, la fanfare « l'Echo de l'Océan », le rallye Niortais pour sonner une messe de la St-Hubert et en fin de programme l'élection de « Miss Petit Train » !
Deux journées exceptionnelles parfaitement réussies à la satisfaction des organisateurs et de tous les participants.
A l'époque le rendez-vous pour le 50 éme anniversaire avait été pris !
Malheureusement les reporatges photos n'ont pas été à la hauteur de l'événement et peu de document ont été retrouvé dans les archives.
Pour la circonstance, il avait été émis des cartes postales, enveloppe commémorative avec cachet de la poste et une affiche très prisée de notre peintre oléronais M. Montaillier.
Billet des années 80 à 26 francs !
Jean Brunet, Jean Lepareux, Jean Giraudeau
Discours du Dr Pol Gala
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Renversement du Wagon-bar - Août 1989
Après 22 ans, il est très difficile de situer avec précision cet accident très spectaculaire mais sans aucun dommage corporel.
En effet le wagon-bar, par définition n’est pas fait pour transporter du personnel !
Ce renversement est dû au désir de l’employé de débaucher le plus rapidement possible !
Il avait tout gagné !
Les 2 seules photos que je possède montrent un site nettoyé des débris de l’accident et en particulier les boogies ont déjà étaient enlevés Le relevage s’est fait, le lendemain matin, avec une grue venue du continent, mais aucune archive ne subsiste.
Ce renversement s’est produit dans la courbe dite de la passe de Gatseau, au PK 3, 000 actuel.
L’ensemble du réseau ayant été réarmé en 30 kg / ml, la stabilité est beaucoup plus grande et il y a peu de chance qu’un même scénario se renouvelle. Toutefois, restons prudents !
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Inondations de 2001
(pluies importantes)
L’hiver 2000/2001 a été particulièrement pluvieux,
entraînant des saturations hydrauliques et des
dysfonctionnements sur notre commune.
En effet, la montée de la nappe phréatique, conjuguée avec
les effluents du lagunage, a inondé tout un secteur de
forêt et notre voie entre les PK 3,6 et PK 3,7 , au droit
de l’entrée du complexe hôtelier Novotel-Thalassotérapie.
Il y a plusieurs décennies un fossé existait pour rejeter
le trop plein à la mer. Ce fossé, qui passait par l’actuel
Centre Lannelongue, a été comblé empêchant toute
évacuation.
Pour pallier à cette absence, la commune a mis en place
une pompe à fort débit (400 m3/h) pour évacuer les eaux
par une canalisation de 500 ml et de 250 m/m de diamètre
dans la mer (photo n°5)
Dés que le niveau a commencé à baisser, nous avons procédé
au démontage de la voie…sous l’eau ! Les employés ont
souffert du froid, le chantier n’était pas facile et
inhabituel !
Enfin nous avons remblayé le ballast sur environ 40 cm et
sur une longueur de 200 ml.
Depuis cette date nous n’avons pas eu de nouvelles
inondations.
Je laisse à votre lecture, l’excellent article de Mr.
James DUPUY, ancien maire, paru dans l’Echo du Mimosa n°
65 de février/mars 2001, qui fait parfaitement la
synthèse.
Un grand merci à la mairie qui a pris les bonnes décisions
au bon moment !
Commentaires sur les photos :
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Photos 1, 2, 3, 4 : la voie est sous 40 cm d’eau ! La canalisation est mise en place au dessus de la voie : il fallait faire vite ! |
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Photo 5 : la pompe est installée dans le puisard qui récolte toutes les eaux de la forêt. |
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Photo 6 : une digue de sable a été érigée provisoirement pour contenir, autant que faire se peut, les eaux ! |
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Photo 7 : l’avenue du débarquement est interdite à la circulation ; la piste cyclable, à droite de la photo, tient lieu de chaussée. |
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Photo 8 : la goulotte de rejet des eaux en activité dans le Coureau. |
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Exercice de sécurité avec les pompiers en février 2007
Simulation de blessés.
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Roule Ma frite
Communiqué de presse
Oléron rentre dans l’ère décarbonée
Oléron le 7 juillet 2010. « Quand on peut utiliser, par exemple, pour des véhicules agricoles, ce qui est déjà le cas, ou des véhicules de collectivités locales des huiles de colza ou des huiles de toute nature pour remplacer un carburant qui est très cher, c’est bien mieux et puis il faut tout récupérer aujourd’hui, c’est je crois l’esprit du monde dans lequel nous vivons, récupérer les frites des vacanciers pour faire avancer le petit train [touristique de St-Trojan-17] qui les emmène en vacances, je trouvais que c’était une très bonne idée, je regrette beaucoup que nos textes actuels l’empêchent et je suis partisan de les faire évoluer ».
Ces propos ont été tenus le 30 juillet 2008 durant la matinale de RMC par Mr Bussereau interviewé avec sa casquette de Secrétaire d’Etat aux Transports. Suite à cette annonce Roule ma frite 17 (RMF17), association d’éducation à l’environnement spécialisée dans la collecte et la revalorisation de déchets en circuits courts, n’a eu de cesse de transformer ces paroles en actes.
L’autorisation de mener à bien cette expérimentation est venue, après quelques mois d’échanges, de la Direction générale energie climat dépendant du Ministère du développement durable. Il s’agit bien ici de mener un travail de fond de suivi et d’analyses techniques à grande échelle pour faire évoluer la législation nationale dans le domaine. Suite à l’adoption de la nouvelle nomenclature déchet début 2010, un nouvel avenir en terme de revalorisation énergétique s’offre en effet aux 170 millions de litres d’huile alimentaire consommés chaque année par la restauration hors foyer en France.
« La locomotive numéro 7 roulera ainsi avec 30 % d’huile alimentaire usagée recyclée et 70 % de fioul pendant le mois de juillet puis avec 30 % d’ester fabriqué à partir de ces mêmes huiles et 70 % de fioul pendant le mois d’août, explique François Bargain gérant du P’tit Train. RMF17 assurant la traçabilité du gisement et la transformation de l’huile, les laboratoires IESPM et Creatmos se chargeant d’analyser les huiles ainsi fabriquées, les huiles moteur des locomotives et les gaz d’échappement afin de dresser des référentiels à comparer à une alimentation 100 % fioul ». L’ensemble du dossier financé par le Fond Régional à l’Excellence Environnementale est validé techniquement par le laboratoire Valagro spécialisé dans la revalorisation des agro-ressources et le carbone renouvelable.
Le comité de pilotage du projet se compose de la Région Poitou-Charentes, de l’Ademe, de Valagro, du Pôle des éco-industries, de la Communauté de communes d’Oléron et de RMF17. Le rendu final de ce travail (rapport d’activité, analyse complète des données, évaluations comparatives, etc.) sera disponible début octobre pour contribuer à faciliter d’autres opérations de ce type associant le triptyque collecte-revalorisation-sensibilisation.
« L’analyse du cycle de vie de la filière, les calculs de rendements énergétiques ou les économies carbones et comptables générées par les circuits-courts doivent devenir des indicateurs de base pour mesurer l’empreinte environnementale réelle des activités socio-économiques, expliquent de concert Romain Gaudier, Mathieu Gilles et Grégory Gendre tous trois salariés de la structure. L’idéal aurait été de mener plus d’expérimentations autour du P’tit Train cette année mais avec ce contexte économique la donne n’est pas facile. Il s’agit d’une première et d’un premier pas car les champs d’investigation sont encore nombreux. Nous amorçons un cycle. »
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